Montagnes Pyréné - é - es

Publié le par FLO

. La  chorale basco-béarnaise était composée de choristes masculins en nombre important. Les deux chefs de choeur étaient originaires, l'une de Sauveterre-de-Béarn, l'autre de Bidache. Nous connaissions bien le coin, pour y être allés souvent d'abord dans notre enfance. 

 A Cauterets, grand-mère nous avait accompagnés et ce doit être près de la cascade du Lutour que nous avions pique-niqué.



A La Mongie, Francine et moi avions fait nos premiers essais de luge.


Plus tard à Gavarnie avec nos parents nous avions emprunté le sentier menant à la grande cascade.
 

 Ensuite depuis Seignosse, lieu de résidence de Francine. A cette occasion, nous avions escaladé la Rhune… en petit train
, affronté les rouleaux de l’océan, plongé dans les eaux plus calmes du lac d’Hossegor, joui du bon air vivifiant des pins (j’aime l’odeur de la résine, elle me rappelle les Landes de mon enfance).


De plus, Claude avait fait dans le cadre de l’Amicale des Anciens Elèves que dirigeait son père, un voyage de cinq jours qui leur avait permis de découvrir cette région. Une fois en retraite, nous sommes revenus dans les Pyrénées. Notre hôtel de base était à Lourdes et de là nous partions à la redécouverte de nos excursions de jeunesse. Le lac de Gaube où l’on accède à présent en ascenseur ne présente plus de difficulté. Aussi nous l’avons contourné pour remonter à la source des petits torrents qui l’alimentent. Ce fut l’occasion de faire de belles photos. Le cirque de Gavarnie où nous croisions des théories de touristes à dos de mulet ou cheval. Pour notre part, nous avons réussi à atteindre le pied de la grande cascade. Et par nos propres moyens! Alors que nous avions passé la soixantaine. Claude a eu encore la possibilité de donner des conseils éclairés à l’hôtelière au sujet de fenêtres sur cour qui ne devaient pas être ouvertes par son voisin sans gêne. Même en retraite, il ne pouvait oublier son ancienne fonction, surtout quand il s'agissait d'apporter quelque aide ou assistance.
  Et au retour, nous étions repassés par Morcenx où j'avais débuté ma scolarité en maternelle pendant l'Occupation. J'ai retrouvé l'emplacement de l'école -qui n'est plus opérationnelle- mais pas le chemin conduisant à notre maison en bordure de la pinède. Il y a des lotissements partout !

Publié dans PROSE

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